Sam McKenzie - [Où que tu sois sur la planete je t'adresse ce SOS...]

Invité

McKenzie Sam
" JE REVIENDRAIS TE RETROUVERAIS T'AIMERAIS... "

NOM ▷ McKenzie PRÉNOM ▷ Sam DATE DE NAISSANCE ▷ 22 Decembre 1985 LIEU DE NAISSANCE ▷ Chicago ÂGE ▷ 26 ans ORIGINE ▷ Irlandaise. NATIONALITÉ ▷ Américaine. ÉTUDE/MÉTIER ▷ Barman STATUT CIVIL ▷ Célibataire STATUT FINANCIÈRE ▷ Pauvre GROUPE ▷ A Broken Promise AVATAR ▷ Hayden Christensen.

Sincère - Impulsif - Drôle - Sarcastique - Touchant - Franc - Attachant - Solitaire - Violent - Vrai - Généreux - Manipulateur
Sam a toujours une cigarette à la main. ★ Sam adore dessiner et il se peut que vous le voyez régulièrement avec un bloc note et un crayon. ★ Il croit en Dieu sans être réellement pratiquant mais il peut lui arriver de prier. ★ L'amour est pour lui le plus beau des sentiments et le seul réellement vrai. ★ Sam est prêt à tout pour les gens qu'il aime. ★ Lorsqu'il est en colère, il a du mal à contenir ses gestes qui peuvent alors devenir violent. ★

I can smile at the old days, I was beautiful then I remember the time I knew what happiness was Let the memory live again

→ Quel est ta définition du mot promesse ? Je déteste ce mot. Celui qu'on dit bien trop souvent et qui au final ne veut plus dire grand chose. On entend partout cette phrase :" Je te promets." Des parents l'a disent à leurs enfants, des mecs à leurs copines et aussi des partons à leurs employés mais au final est ce que les gens tiennent réellement leur promesses ? Je ne suis pas sûre. Je n'ai jamais voulu faire de promesse, jamais voulu prendre le risque de décevoir quelqu'un. Depuis que je suis gosse, on m'a fait des centaines de promesses et aucune n'a été tenue. Moi je ne veux pas promettre, je ne veux pas dire ce putain de mot qui devient alors un véritable poison. En effet, une fois qu'on prononce cette fameuse phrase : "Je te promets", on est fichue. Soit elle nous oblige à faire quelque chose qu'on n'a finalement plus envie de faire, soit elle nous oblige à passer outre et dans ce cas, elle nous bouffe de culpabilité. J'ai promis une fois. C'était la plus grosse erreur de ma vie cette putain de promesse. Je ne sais pas pourquoi je l'ai fais, je m'étais pourtant juré de ne jamais le faire. Mais vous savez ce qu'on dit : "Il ne faut jamais dire jamais."
→ Que penses-tu de ceux qui ne les tiennent pas ? Je déteste les gens qui ne tiennent pas leurs promesses. Une promesse c'est un serment et un serment on doit le tenir. Dans ma vie, j'ai été amené a rencontré plusieurs personnes qui m'ont promis des choses, aucune, je dis bien aucune d'entre elles ne les as tenue. Je déteste ces gens. Je déteste tous ceux qui promettent à tout bout de champs et qui sont incapables de tenir une ne serait ce que de leurs promesses.
→ Et toi, tiens-tu tes promesses? J'ai promis une seule et unique fois.Je l'ai dis cette phrase :"Je te promets". Je n'ai pas tenue ma promesse. La vie m'en a empêcher et je crois qu'en toute honnêteté, ça m'arrangeait bien. Je ne me suis pas battue pour pouvoir tenir cette promesse que j'avais pourtant faite à une personne ultra importante. J'ai été rongé par la culpabilité mais je n'ai même pas chercher à faire disparaitre ce sentiment. J'ai été lache. Ne pas tenir ses promesses c'est tellement plus facile.
→ As-tu souffert par ça ? Bien sur que j'ai souffert. J'ai eu mal et j'étais rongé par la culpabilité je vous l'ai dis. Mais c'est comme ça. Je crois que, j'ai juste envie de ne plus en entendre par parler. C'est du passé. Quant à ceux qui m'ont promis la lune mais qui me l'ont jamais donné, je les hais tous autant qu'ils sont et je ne veux plus jamais les revoir.

sometimes you promise someone forever but it doesn't work out that way

"On continue Sam ? A moins que vous préfériez arrêter là pour aujourd'hui ?" dit l'homme qui me faisait face. Je pousse un long soupire puis jette un léger regard vers la fenêtre avant de me reconcentrer sur le psychologue de l'hopital de Floride. Pourquoi je suis allé voir un psy ? Tout simplement parce que j'y suis forcé. On a retrouvé ds traces de cocaïne dans mon sang et résultat, je suis là, assis, deux fois par semaine, sur un putain de divan pour parler de moi et de ma vie. Je me plains pas, ça aurait pu être la taule et ça j'aurais vraiment pas supporter. Je crois que je suis tombé sur un juge plutôt conscilliant finalement. Comment j'en suis arrivé là ? Et bien justement c'est ce que j'essaye de comprendre depuis des semaines, enfin, des années mêmes.
"On continue. Je vais bien." dis je dans un souffle. Il sourit tendrement avant de reprendre :"Alors vas y, je t'écoute. Parle moi de ce que tu veux." Je soupire de nouveau puis prend une grand inspiration avant de regarder par la fenêtre une nouvelle fois. "Je crois que j'ai envie de parler d'elle. Par elle, je veux parler de ma mère. C'est la plus merveilleuse des femmes qui existent. Elle m'a élevé seule et elle a toujours tout fait pour que je manque de rien. Ce n'était pourtant pas facile pour elle. Elle est tombée enceinte bien trop jeune et mon père, alcoolique, drogué s'est barré dés qu'il a su qu'elle était enceinte. Il l'a abandonné et il m'a abandonné avant même de me connaître. Je n'ai jamais chercher à connaître cet enculé. Ca ne m'interesse pas. Ma seule famille, c'est ma mère et c'est très bien comme ça. A Chicago, nous vivions dans un immeuble tellement délabré qu'on aurait dit qu'il datait de la guerre. Ma chambre était horrible. Je ne me souviens plus du reste de l'appartement mais je sais que ma chambre était ignoble. Je crois même me souvenir qu'il n'y avait pas de fenêtre. Ma mère a enchainé les emplois merdiques pour que j'aille toujours quelque chose à manger dans mon assiette. Elle a d'abord été caissière dans un magasin d'alimentation où le patron lui faisait du chantage pour qu'elle couche avec lui. Ensuite, elle a fait des ménages dans une grande entreprise. De mon côté, j'essayais au maximum de travailler à l'école. Je ne voulais pas finir comme tous ces jeunes de la cité dans laquelle je vivais. Et je ne voulais surtout pas toucher à la drogue de prés ou de loin même si on m'avait proposé plusieurs fois de rejoindre ce commerce sous terrain qui m'aurait bien permis d'aider ma mère. J'ai toujours résisté. Ma mère me disait toujours de ne pas toucher cette merde. Cette merde, elle lui rappellait mon connard de père et je ne voulais surtout pas lui faire de mal. Alors je n'ai rien fais. Du moins jusqu'à l'âge de mes seize ans. " Je ferme doucement les yeux comme pour me souvenir de cette periode de ma vie, où tout à changer pour ma mère et moi. Je soupire un grand coup avant d'ouvrir de nouveau les yeux et de regarder mon interlocuteur qui me fait toujours face et qui semble réellement intéressé par mon récit. En confiance, j'ai donc décidé de poursuivre. De toute manière, j'étais obligé de faire ces séances, autant collaborer un minimum. " C'est quand j'ai eu seize ans que ma mère a décidé qu'on aille vivre en Floride. Une amie à elle lui avait raconté que des familles très riches embauchaient des femmes de ménage et hébergeaient leur famille avec. Ma mère voulait changer de vie, changer d'air. C'était l’occasion rêvé. Nous avons donc quitté Chicago pour rejoindre la Floride et en effet, une des familles les plus riches de la ville dans laquelle nous étions arrivés nous a embauché. Ou plutôt à embaucher ma mère. C'était une famille particulière. Le père était un célèbre homme d'affaire, toujours en voyage à l'étranger et quasiment jamais là, la mère était une mannequin a la retraite qui parcourrait aussi le pays pour trouver la futur mannequin et faire d'autres choses dont j'ignore toujours le réel intérêt. Je n'ai jamais aimé la femme de cette maison. Pour moi, ce n'était rien d'autre qu'une garce finie. Elle aimait l'argent, les hommes (elle avait d'ailleurs un nombre impressionnant d'amant) et détestait tout ce qui pouvait se rapporter à la pauvreté ou la médiocrité. Elle détestait donc ma mère mais étant jamais là, son mari avait jugé bon que quelqu'un fasse le ménage et s'occupe de leur fille. Tiens en parlant d'elle. Elle est...était..." Je pousse un long soupire. Il est toujours difficile pour moi de parler d'elle. Je me racle légèrement la gorge avant de reprendre mon récit. "Phoebe Harris. La fille la plus populaire du lycée le plus riche de la ville. La fille que tout le monde connait, dont tout le monde parle et qui est encore pire que sa mère ! Phoebe avait mon âge. Et croyez moi, à seize ans, elle était la pire des garces. C'était un monstre même. Elle vivait dans le luxe depuis sa plus tendre enfance et je crois pouvoir dire que tout ceci lui avait monté à la tête. Entre elle et moi, c'était la guerre. Nous vivions dans la même maison, bien que moi, ma chambre était bien moins grande et moins luxueuse que la sienne. Ma mère et moi étions au rez de chaussé de la maison, un peu gaché du reste de la population habitant la maison. La seule chose que nous avions en commun était la cuisine. Phoebe me détestait et c'était réciproque. Je la haissais elle et ses stupides amies qui venaient chez elle. Et plus particulièrement, je haissais John ! Son petit ami basketteur aussi débile que mes pieds ! Seulement, je dois avouer une chose, Phoebe était la beauté incarnée. Tout chez elle m'attirait. Je dis bien tout ! Je me détestais souvent d'être attiré par une fille qui était un monstre à l'intérieur mais il n'y avait rien à faire, elle me rendait dingue. Tellement dingue que j'en rêvais même la nuit. Pendant un an, nous avons passé notre temps à se faire la guerre. Se détester.et se le montrer était devenue notre jeu favori. Tellement favori que nous passions pratiquement notre temps ensemble. Le but étant de montrer à l'autre qu'on le détestait. Pas trop difficile hein ?! Pourtant, sa présence m'était devenue indispensable, presque vitale. Je ne l'expliquais pas mais c'était étrange pour quelqu'un que j'étais censé hair. Tout a basculé un jour d'été. Alors qu'une soirée sur la plage avait été organisé par le comité de la ville, pour permettre aux jeunes de s'amuser. Phoebe et moi ne fréquentions pas le même lycée et par conséquent, nous n'avions pas les mêmes amis. Seulement, la ville n'est pas immense et ils nous arrivaient souvent d'être dans l'obligation d'aller aux mêmes soirées. On mélange pas les torchons avec les serviettes, je sais bien mais comme dans cette ville, j'étais l'un des seul torchon et bien je devais m'intégrer. Et c'était toujours très difficile. Heureusement que j'avais deux trois amis venant de mon milieu, dont les mères faisaient généralement le même travail que la mienne. Bref, je m'étais rendu à cette soirée avec mes amis. Il y avait de la musique, du feu, des bieres et beaucoup, beaucoup de monde."

Flash back :

"Je reviens, faut que je me trouve un coin pour pisser, je crois que j'ai bu trop de bière." dis je, un sourire niais sur le visage qui prouvait surement que mon taux d'alcoolémie était élevé. Je détestais l'idée de boire, elle me rappellait cet homme qui avait détruite ma mère mais, j'avais dix sept et boire en soirée c'était cool. Je laisse donc mon meilleur ami sur la plage et me dirige vers les dunes pour trouver un endroit tranquille pour pisser; Je crois que la plage n'avait jamais été aussi rempli. Je passais devant plusieurs groupes, pour enfin arriver à endroit qui me semblait tranquille. Je suis donc allé me soulager et quand je me suis apprété à prendre le chemin du retour, j'ai entendue une jeune fille hurlé. Cette voix, je la connaissais très bien et pour cause je passais mes journées à l'entendre. Il s'agissait de Phoebe. Je me suis donc précipité en direction du son et quand je me suis approché, j'ai vu Phoebe allongée par terre et John qui était sur elle. Il l'étranglait je crois, ou du moins il avait le geste. "Tu dragues ce petit fils de pute qui vit chez toi sous mes yeux, tu crois que je te vois pas ?! Je vais te le faire payer tu m'entends." dit John plus qu'énervé. Je crois comprendre à cet instant de quoi il parle. Avec Phoebe, ces derniers temps, c'était devenue bizarre. Que ce soit à la maison ou à chaque soirée ou nous étions ensembles, elle passait son temps à me défier du regard. Elle m'aguichait clairement. Pourquoi elle faisait ça ?! J'en sais rien. Surement parce qu'elle était persuadée qu'elle me plaisait, elle voulait me faire craquer pour mieux me jeter ensuite. Quand je vous dis qu'on avait des jeux très spéciaux. C'était malsin et je crois pouvoir dire qu'on aimait ça, tous les deux ! Je détestais Phoebe et pourtant jamais une fille ne m'avais autant fait de l'effet. Je la voulais, c'était une évidence. J'avais d'ailleurs déjà failli l'embrasser et elle m'avait rit au nez, contente d'avoir gagné. Bref, ce soir, elle avait recommencé et avait été bien moins discrète que d'habitude. Surement à cause de l'alcool. Cet épisode n'avait apparemment pas plu à son petit ami. Enfin si j'ose dire. Est ce que quelqu'un d'amoureux traite la personne qu'il aime comme ça ?! Aussi jaloux soit il ?! Je ne crois pas non. En une fraction de seconde, je suis arrivé à la hauteur de John. Je l'ai saisie par le col de sa chemise et je lui ai mis un bon coup de poing. S'en ai suivit une bagarre que j'ai bien sûr gagné très rapidement, l'avantage d'avoir vécu dans les quartiers chauds de Chicago et j'ai pris Phoebe dans mes bras qui était un peu sonnée, pour l'emmener encore plus loin dans les dunes, loin de John et loin de la foule.
"Comment tu te sens ?" dis je tout doucement en passant une mèche de ses cheveux derrière ses oreilles. J'étais assis face à la mer et je l'avais mise à côté de moi. Je la vis alors venir s'assoir sur moi et passé ses bras autour de mon cou pour blottir sa tête au creux de celui-ci. Nous n'avions jamais été aussi proches et jamais j'avais ressenti tout ça. Son odeur, je la connaissais et pourtant, j'avais l'impression de la découvrir. Ses cheveux ils étaient parfaits,beaux, soyeux..J'ai passé mes mains sur son dos pour la serrer un peu contre moi. Je ne sais pas trop si je l'ai fais pour elle parce qu'elle en avait besoin ou pour moi mais dans les cas, c'était un chouette moment. Je crois que c'était notre premier moment. Le vrai, le réel, celui qui n'était pas un jeu, pas malsain. Bien vite je senti qu'elle pleurait. Je me suis alors détachée de son étreinte et je l'ai regardé dans les yeux, puis mon doigt est venue essuyer une de ses larmes. "S'il te plais Phoebe, calme toi. Je vais le tuer cet..." "Arrête..Tais toi. S'il te plais, je...J'ai juste envie d'être dans tes bras. Tu veux bien ?" me dit elle en me coupant la parole. Je souris tendrement et elle vint alors se placer entre mes jambes face à la mer. Nous sommes restés là environ deux heures. Je crois même que nous avons du nous endormir à un moment. "
Je soupire doucement et jette de nouveau un oeil vers la fenêtre avant de poursuivre. "Je crois que c'est cette nuit là que tout a changé, que tout est devenue différent. J'étais devenue le meilleur ami de Phoebe; En fait, je crois que j'étais devenue bien plus que ça mais, à cette époque, aucun de nous deux ne le savaient encore. Phoebe qui avait toujours été détestable avec moi, était devenue l'inverse. Elle était adorable. Elle m'a enfin présenté à ses amis avec qui elle passait son temps à se foutre de ma gueule, leur interdisant alors de se moquer de moi et quand Phoebe disait quelque chose, les gens avaient l'habitude de l'écouter. Elle avait larguer John et lui aviat dit de ne plus jamais l'approcher ou elle préviendrait son père de ce qui lui avait fait ainsi que les autorités. Ca avait marché apparemment. Il se faisait tout petit et dés que je le croisais,je me retenais pour pas le buter. En fait, Phoebe et moi, étions devenus inséparables. Plus personne ne comptait réellement. Nous étions tous les deux à la maison, en dehors de la maison, partout. Nous nous racontions nos vies et nous avons découvert que nous ne savions rien de nous deux. J'ai alors compris qui elle était réellement. Elle n'était pas un monstre, elle faisait semblant, voulant ressembler à cette horrible femme qu'était sa mère. La seule personne qu'elle aimait réellement c'était son père. C'était un homme bien, vraiment. Dommage qu'il soit aussi absent. Sa mère, c'était une sorcière. Elle n'avait jamais prété la moindre attention à Phoebe alors elle faisait comme si c'était normal, elle tachait de devenir comme elle mais cela lui pesait de plus en plus. Elle ne supportait plus sa vie. Elle voulait partir, tout quitter, partir loin. Un soir, Phoebe pleurait. Je ne me souviens même plus la raison. Nous étions au bord de sa piscine. Je me souviens juste que de voir une larme sur son visage m'avait fait plus que mal que n'importe quoi d'autre. J'ai eu l'impression qu'on m'enfonçait une lame dans mon coeur. Ce jour là, j'ai compris que Phoebe était devenue toute ma vie. J'aurais donné ma vie pour sauver la sienne. Je crois que j'en étais tombé amoureux, terriblement amoureux. Pour la première fois de ma vie, je savais ce que l'amour voulait dire. JE savais que tout ce qui compterait à présent, se serait elle et son bonheur et peut importe que je n'en fasse pas partie, du moment qu'elle était heureuse. J'ai essuyé cette larme, je me suis mise en face d'elle, je l'ai prise dans mes bras et j'ai fais une chose que je m'étais toujours juré de ne jamais faire, je lui ais dis ces mots :"Je te promets de t'emmener avec moi quand je partirais, de te sortir de cette vie de merde et de ne jamais t'abandonner..." Rien que ça hein ! Qu'est ce qu'on peut être à dix sept. J'étais loin de m'imaginer la suite des évènements avant de lui promettre une chose pareille. "

Spoiler:

Date d'inscription : 02/06/2012

Bienvenue charmant Hayden ! :ooog:

Date d'inscription : 17/05/2012

christensen :queen:

très bon choix d'avatar, bienvenue et bon courage pour ta fichette :annnnnn:

Date d'inscription : 27/05/2012

ANAKIN SKYWALKER *-* -out- bienvenue parmi nous

Date d'inscription : 01/06/2012

Excellent choix d'avatar :goooood:

Et bienvenue parmi nous. I love you

Date d'inscription : 27/05/2012

qu'il est beau :goooood:

bienvenue et bon courage pour la fiche I love you

ps: je veux un lien.

Invité

Merci à tous ! :wooow:

Quel accueil ! I love you

J'ai presque terminé ma fiche. Demain se sera bon ! :pompom:

Hate d'être réellement parmi vous et de commencer à jouer ! :rainbow:

Date d'inscription : 28/05/2012

DEDEN, FAIS MOI DES ENFANTS :queen:

punaise, c'est un excellent choix. Ce mec est awesome, beau et trop inspirant :wooow:

bienvenue ici bô mâle :fggg:

Date d'inscription : 17/05/2012

Ton délai pour faire ta fiche a pris fin hier, tu as encore trois jours pour la terminé, si cela n'est pas fait, tu serais supprimé. N'hésite pas si tu as besoin d'un délai supplémentaire :sniiiif:

» Bentley •• « Le travail c'est sacré, alors ne sois pas égoïste, laisse-le à tes amis »

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