❝ C'est grave docteur ? ❞

Date d'inscription : 02/06/2012

❝ C'est grave docteur ? ❞ Tumblr_m0jzo0prRr1qfvzyf

« Les animaux se lavent en se léchant.
Sauf les hérissons et les oursins. »

Le fou furieux ne m'avait pas sauté dessus lorsque j'avais ouvert la porte de l'appartement. Il n'avait pas aboyé à s'en rompre les tympans quand il avait entendu les bruits de pas dans le couloir, et encore moins quand il avait entendu les clés tourner dans la serrure. Pire, il n'était pas dans l'entrée que j'y avais pénétré. Quelque chose clochait. Aleks venait de m'assurer qu'il était encore au travail, et qu'il en avait encore pour une bonne heure. J'étais donc la première dans l'appartement, depuis ce midi. Barney aurait du me sauter dessus, me renverser par terre et me couvrir de bave comme il le faisait si bien. Mais au lieu de ça, rien. C'était bien la première fois en deux ans, depuis que j'avais emménagé avec Aleks et que ma colocation avec le golden retriever avait débuté.

« Barney ? » Pas de réponse, pas de jappement, rien que le silence. « Où es-tu, vilain monstre ?» Toujours rien, je commençais à chercher dans le salon, son panier était vide. « Tu ne veux pas aller promener ? » D'habitude à cette phrase le chien courrait partout, il était complètement fou. Après plusieurs minutes de recherche, je finis par le retrouver sous le lit, inerte. À côté gisait une boîte de chocolats, qu'Aleks m'avait offert la veille. J'avais du laisser la boite sur la table de nuit, et avais oublié de la ranger. Barney en avait profité pour en faire son petit déjeuner. Quel idiot. Je tirai l'animal par son collier, le forçant à sortir de sous le lit. Ce dernier émet un jappement de mécontentement, mais se laissa faire. Il devait vraiment en avoir enfourner un paquet, le ventre sur pattes.

Je n'avais jamais eu de chiens, mes parents n'aimant pas les animaux de compagnie en général. Pourtant, je savais qu'ils ne supportaient pas le chocolat, que c'était du poison. C'est pourquoi je filai vers le téléphone pour appeler Aleks. Lui saurait quoi faire. Après plusieurs minutes au téléphone, et une voix un peu trop paniquée, nous en convînmes qu'il fallait que je l'emmène chez le vétérinaire. Le problème était que le vétérinaire qu'Aleks allait voir était parti en retraite il y a de ça quelques mois. S'ensuivit donc une course avec l'annuaire téléphonique. Je notai la première adresse que je vis, pris les clés, la laisse, et tirai Barney jusqu'à l'ascenseur. Le golden était un poids mort, inutile d'essayer de le soulever dans mes bras.

Cela prit du temps, un temps qui me parut incroyablement long. Nous finîmes pourtant par arriver jusqu'à ma voiture. Une fois installé à l'arrière, je démarrai en trombe, directement le cabinet vétérinaire. Arrivée là-bas, paniquée et les cheveux tout emmêlés à cause de la lutte que ça avait été de transporter Barney, j'arrivais devant la secrétaire. Une fois après avoir fait un rapport sur le pourquoi le chien était à moitié inconscient, la secrétaire partit prévenir la vétérinaire qui était encore de service. Une chance, apparemment.

On emmena Barney, et je dus attendre un long moment avant qu'enfin quelqu'un refasse surface. Une jeune femme, un peu plus âgée que moi. Fatiguée d'après ses traits de visage. Je me levai, la suivant jusqu'à sa salle.

« Il va s'en sortir ? »

Ce n'était même pas mon chien. Et j'avais failli l'intoxiquer. Si cette boule de poils venait à mourir, Aleks m'en voudrait, c'était sûr. Déjà qu'il m'avait à moitié crié dessus au téléphone... Il avait fallu que je lui répète qu'il ne pouvait pas se libérer et que j'allais récupérer le coup pour qu'il raccroche.

Date d'inscription : 03/06/2012

« ASHTON & SIOBHAN »

« Oui le gros ça va je me lève ! ». Non ce n’était pas mon compagnon que je traitais de gros – je n’oserais pas voyons – c’était le chien. Enfin un de mes chiens. Celui qui était un réveil sur patte. Mon cher et tendre chien sans race mais gros et tellement beau du nom de Lucky. Parce que c’était un grand chanceux que j’avais sauvé de justesse de l’euthanasie. Ils disaient tous qu’il était irrécupérable. Faux ! Je l’avais récupéré et j’en avais fait un excellent chien plein d’amour. Ma main se posa sur sa grande tête et je le caressais. Je me levais. Par réflexe, je tournais mon alliance sur mon doigt. Je n’avais toujours pas eu la force de l’enlever. L’aurais-je un jour cette force ? Je ne savais pas. Tout était encore si flou. Je chassais ses pensées de ma tête. Je dis bonjour, donna de l’amour a toute ma ménagerie. Je les nourrissais et je pris ma salade à moi. Oui le matin je mangeais une salade, j’avais un régime alimentaire très strict, étant végétalienne et allergique à pas mal de chose, une salade le matin était idéal. Après m’être douché et préparé je me rendis sur mon lieu de travail. Quand j’arrivais Emma était déjà là. Mon auxiliaire spécialisé vétérinaire, très douée. Je l’avais formé et après je l’ai engagé pour un CDI. Je l’a saluais et je pris note des rendez-vous d’aujourd’hui, des chirurgies, de l’état des animaux etc … Un travail minutieux et observateur.

Je m’occupais à soigner les animaux déjà présents depuis la veille, afin de leur donner leurs soins avec l’aide de mon assistante. Je m’attaquais ensuite à la chirurgie, une ovariotomie et deux castrations. En deux heures tout fut fini. Ce matin c’était rapide mais il y avait des jours où ça durait des heures, quand nous devions opérer des ligaments croisé ou ce genre d’opération assez complexe. Une urgence arriva, un chien venait de se faire attaquer par un autre chien. Les dégâts étaient graves. Le chien perdait beaucoup de sang. J’ai fait tout ce que j’ai pu pendant près de trois heures, entre essayé d’arrêter les hémorragies, les sutures, le temps de désinfecter, mais l’étendus des blessures étaient bien trop importante. Le chien décéda. Cela faisait partie malheureusement du métier et il fallait faire avec. On s’endurcit sur ce point-là après plusieurs années d’exercice. J’annonçais avec peine à la patronne que son chien avait succombé. Je jouais aussi sur le plan humain et je consolais cette pauvre dame. Puis vint la paperasse de l’assurance. Mais je laissais Emma s’en occuper, c’était son rôle.

Je prenais le temps de manger un quelque chose. Avant de reprendre sur les rendez-vous qui avait pris déjà un petit retard. Je visitais tout le monde. Pris le temps qu’il fallait avec chacun des patients. Accueillit les urgences. Les entre deux. Un emploi serré, qui ne me laissait aucune seconde de répit. Puis quand la soirée arriva, la salle d’attente se fit vide. J’allais derrière prendre un peu de temps et manger un petit quelque chose. Emma vint me chercher, une demoiselle était arrivé le chien avait mangé du chocolat. La pagaille. Je lui demandais de m’emmener le chien. Elle m’emmena donc un beau golden retriever tout flagada. Ok ! Je voyais le cas. On le posa sur la table de consultation de l’arrière pièce. Je pris connaissance des premiers signes, des premières réactions. Je plaçais un cathéter immédiatement au niveau de sa patte et je le perfusé. Je pris une seringue, pris une boite dans le placard. J’injectais le traitement dans la perfusion du chien. Qui se rependra dans son sang dans l’immédiat. Je palpais son estomac. Il devrait s’en sortir mais j’allais devoir le garder plusieurs jours au sein de la clinique.

« Emma ne le bouge pas pour le moment ! Je vais rassurer sa patronne et je reviens ! Surveille-le ! »

La fatigue ce faisait sentir mais qu’importe. Je refermais la porte derrière moi. Et je découvris une jeune femme blonde, qui semblait avoir bataillé vue sa coupe de cheveux. Je l’invitais à me suivre dans ma salle de consultation. Elle me demanda s’il allait s’en sortir.

« Il devrait s’en sortir ! Barney est un veinard mais il n’est pas passé loin ! Malgré tout je ne peux pas réellement écarter encore toutes les possibilités c’est pourquoi je vais le garder quelques jours ici ! Il a ingéré de la théobromine un composant du chocolat, ce composant dangereux pour le chien ! Le traitement que j’ai administré à Barney va servir à limiter l’absorption intestinale de ce composant, de la théobromine. La théobromine est très dure à évacuer par le chien, c’est pourquoi je dois le surveiller plusieurs jours, à savoir s’il accepte et élimine correctement cette substance. »

Je ne savais pas si elle avait compris tout ce que je venais de dire. Cela pouvait parfois paraître difficile. Je lui offris un sourire. Et je poursuivis :

« Si vous avez des questions ? Des choses que vous ne comprenez pas n’hésitez pas à demander, les mots et les pathologies peuvent être difficiles à comprendre ! Et vous pouvez le voir si vous voulez ? ».

Date d'inscription : 02/06/2012

« Les animaux se lavent en se léchant.
Sauf les hérissons et les oursins. »

« Il devrait s’en sortir ! Barney est un veinard mais il n’est pas passé loin ! Malgré tout je ne peux pas réellement écarter encore toutes les possibilités c’est pourquoi je vais le garder quelques jours ici ! Il a ingéré de la théobromine un composant du chocolat, ce composant dangereux pour le chien ! Le traitement que j’ai administré à Barney va servir à limiter l’absorption intestinale de ce composant, de la théobromine. La théobromine est très dure à évacuer par le chien, c’est pourquoi je dois le surveiller plusieurs jours, à savoir s’il accepte et élimine correctement cette substance. »

Je n'avais pas la médecine infuse, je n'étais pas non plu branchée du côté des vétérinaires. Les soins des animaux m'étaient limités. Comme je viens de le dire, je n'avais jamais eu quoi que ce soit de vivants autre que mes parents chez moi dans mon enfance, alors... Je savais que la chocolat était mortel pour les chiens, parce que ça, tout le monde le sait. Le chocolat, c'est tellement bon, qu'il est toujours difficile de croire que pour des animaux ça peut être mortel. Petite, j'avais toujours été sceptique, je me disais que les enfants avaient inventé ça pour éviter de se sentir égoïste. Le chien ne peut pas en manger, sinon il meurt, donc en me gavant de chocolat, je lui sauve la vie. Visiblement, c'était bien plus qu'une excuse, c'était la vérité.

« Si vous avez des questions ? Des choses que vous ne comprenez pas n’hésitez pas à demander, les mots et les pathologies peuvent être difficiles à comprendre ! Et vous pouvez le voir si vous voulez ? »

C'est vrai que pour le coup, c'était un peu flou dans ma tête. J'étais tellement soulagée quand elle avait dit que Barney allait s'en sortir que j'avais immédiatement décroché de la conversation, que je n'avais suivi que d'une oreille. Enfin, je n'étais pas plus bête qu'une autre, et les explications étaient bien expliquées. Si Barney allait mal, c'était à cause de la substance présente dans le chocolat. Heureusement je l'avais emmené à temps, il était entre de bonnes mains, et il allait juste falloir attendre qu'il éjecte cette substance pour rentrer à la maison. Facile, non ? En tout cas, tout était bien qui finissait bien, j'allais pouvoir appeler Aleks pour lui dire que son chien allait bientôt recommencer à manger les journaux dans l'appartement et à faire le foufou quand on rentre, il allait être ravi, et surtout rassuré.

Je souris à la demoiselle, à mon tour. Elle avait bien été gentille de prendre en charge Barney malgré la fin de journée, et même le début de soirée. Le métier de vétérinaire ne devait pas être quelque chose de reposant. C'était le problème de toutes les professions médicales, ou d'urgence, dans tous les cas. On ne pouvait pas avoir d'horaires fixes, car à moins d'être sans cœur, on ne pouvait pas refuser un patient -humain ou non- et le laisse claquer sur le bas-côté.

« C'est très gentil à vous d'avoir pris soin de Barney. Je suis désolée de vous avoir embêté avec ça, j'aurai du être plus rigoureuse et cacher cette boite de chocolats. Merci mille fois. » Je baissai le regard, soudainement intimidée et mal à l'aise par rapport à ça. Quel genre de maîtres pouvaient faire une telle bourde ? Enfin bref. « Eh oui, je veux bien aller le voir avant de repartir, histoire de lui souhaiter une bonne nuit. »

Nous passâmes donc par une porte au fond de la salle. Je découvris une table, avec divers instruments chirurgicaux à proximité. Un parfait bloc opérateur pour nos amis à poils, plumes, voir même écailles. Ça me rappelait que petite, j'avais eu la vocation de faire vétérinaire. Vocation que j'avais abandonné lorsque j'avais vu à la télévision une castration. Ça m'avait vacciné, si on peut dire ça comme ça.

Sur la table était encore allongé Barney. Il semblait encore plus pataud que lorsque je l'avais déposé, mais je supposais que la vétérinaire lui avait injecté un calmant, voir même un anesthésiant pour qu'il se tienne tranquille. Je me penchai près de sa truffe, lui caressant entre les oreilles, ce qu'il adorait temps. « Navrée mon gros, je tâcherai de faire plus attention la prochaine fois. » Je m'approchai pour lui chuchoter à l'oreille « Je te préviens, si tu claques, Aleks ne me le pardonnera jamais. Donc prend soin de toi ! » Je lui déposai un baiser entre ses oreilles, puis me redressai pour faire face à la vétérinaire.

« C'est le chien de mon petit ami. Je ne savais pas où il rangeait son carnet de santé, du coup je suis venue les mains vides. Est-ce qu'il faudra que je vous le ramène quand je reviendrai ? »

Je devais vraiment passer pour une ignare. Enfin bon, tant pis. Je crois qu'à la longue, je commençais à avoir l'habitude. Mise à part les livres, ma culture générale n'allait pas loin. Surtout dans le domaine animalier.

Date d'inscription : 03/06/2012

« ASHTON & SIOBHAN »

J’étais contente de pouvoir dire à la cliente que son chien allait s’en sortir, malgré qu’il aille devoir être surveillé pendant plusieurs jours car la toxine qu’il y avait dans le chocolat, donc qu’il avait ingéré, avec le traitement mettait plusieurs jours à s’évacuer. Et je préférais qu’il soit ici, au moins s’il y avait la moindre complication je pouvais vite agir. Le chocolat pouvait être mortel, j’avais déjà eu des cas comme ça, surtout durant les fêtes de fin d’années, où le chocolat fuse dans les foyers et font le régal des chiens qui en font une overdose et y succombe. Parfois les patrons ne s’en rendent pas compte et c’est gravissime. Je demandais à la jeune femme si elle avait bien compris, s’il elle avait des questions, parfois c’était difficile de comprendre, car on employé des termes par tout le temps très compréhensible. Il m’était arrivé de devoir expliquer quinze fois la même chose à une dame qui ne comprenait pas. J’avais pris mon mal en patience et j’y étais arrivé à bout. Mais j’aimais mon métier avec tous les bons et les mauvais côtés. Car oui on n’avait pas d’horaire fixe – mais ça depuis le décès d’Ethan je m’en fichais pas mal des horaires, je n’avais plus l’homme de ma vie qui m’attendait à la maison alors à quoi bon rentrer et préparer le dîner pour personne – et puis supporter des patients parfois très difficile qui traire leurs animaux comme des divas et tout le patratra. Je reportais mon attention sur la jeune femme. Un sourire collé aux lèvres.

C'est très gentil à vous d'avoir pris soin de Barney. Je suis désolée de vous avoir embêté avec ça, j'aurai du être plus rigoureuse et cacher cette boite de chocolats. Merci mille fois. »

Je voyais qu’elle était mal à l’aise face à ce qu’elle avait laissé faire. Je me devais de la rassurer et en rigolant je lui dis.

« C’est normal, c’est mon boulot et je ne refuse jamais un patient. Vous savez l’erreur est humaine certes ça aurait pu lui coûter la vie, mais il est là et il va aller bien, je crois que c’est une leçon à retenir et vous la retiendrez. Et croyez-moi j’ai vue bien pire »

Elle voulait voir Barney. C’était normal. Je l’invitais à me suivre et je l’emmenais derrière où reposait son chien. Il était encore allongé sur la table. Je m’approchais du chien et je dis à Emma

« C’est bon Emma tu peux rentrer chez toi ! Je vais y arriver toute seule ! A demain ! »

Elle n’avait pas à rester, elle avait largement dépassé son quota d’heure de présence. J’allais à la perfusion du chien. Et je réinjectais un médicament. Et je me reculais laissant la jeune femme avec Barney. C’était touchant de voir le tableau qui s’offrait devant mes yeux. Quand je voyais comme certain patron ce fichait pas mal de leur animaux, ou au contraire les hystériques. Un jour j’avais dû appeler les pompiers pour une maîtresse, car je lui avais annoncé que son chien allait devoir être anesthésié pour un détartrage, elle était devenue folle, ne supportant pas que son yorkshire subisse une anesthésie. Je quittais ses pensées et je reviens sur le bloc note que j’avais en main et noté ce que plus tard j’écrirais sur la fiche.

« C'est le chien de mon petit ami. Je ne savais pas où il rangeait son carnet de santé, du coup je suis venue les mains vides. Est-ce qu'il faudra que je vous le ramène quand je reviendrai ? »

Je fis non de la tête. Le carnet de santé servait essentiellement aux vaccinations. Je me rapprochais du chien et je caressais sa belle fourrure sable.

« Non ne vous inquiétez pas pour le carnet de santé, ce n’est pas utile. Votre petit ami est au courant de l’état de Barney ? »

Je ne voulais pas me montrer indiscrète évidemment. Mais apparemment ce n’étais pas réellement son chien à elle, donc c’est naturellement que j’avais posé la question. J’allais dans l’armoire sur la droite et je récupérais des couvertures et un cousin de panier. Je l’ai posé par terre dans un box sous un box pour chat. Je lui préparais un lit douillé.

« Alors je vais le poser ici ! J’aurais juste besoin, vu que vous êtes là, que vous me teniez la perfusion et vous suivrez juste mes mouvements ! D’accord ? »

Parfois ce n’était pas plus mal de faire participer les patrons. Parfois ça faisait plaisir. Même si ce n’était pas grand-chose, comme ici juste le fait de tenir la perfusion. Je lui tendis la perf et une fois qu’elle l’eu saisie, je plaçais mes mains sous le chien. D’ailleurs il faisait son poids et après une petite difficulté je le posé sur le lit que je lui avais préparé. Le minou se trouvait au-dessus mais à côté souffla un instant, je lui tirais la langue :

« Oh ça va Grisouille !! Merci pour l’aide au fait Mademoiselle Everdeen »

J’avais récupéré la perf et l’avais accroché au crochet fait pour. Je mis une serviette sur le box de grisouille au moins il dormira et n’embêtera pas Barney.

« Je vais rester ce soir pour le surveiller si ça peut vous rassurer ! »