Une journée de repos, je vais pouvoir faire la grasse matinée et me prélassé autant que je le désire, faire ce que je veux de ma journée, suivre mes envies mais, cette journée s'annonce profondément ennuyeuse. Le ciel est grisâtre et il pleut des cordes depuis mon réveil, de quoi me déprimé dès le matin. Il fait froid et j'augmente la température de l'eau pour pouvoir me réchauffé mais, à peine je sors de ma douche qu'une vague de froid me submerge et me glace presque aussitôt le temps. A chaque fois, c'est toujours la même chose, il fait moche à chaque fois que j'ai une journée de libre. Le pire, c'est que mise à part Barney, je n'aurais personne pour me tenir compagnie, Ashton travaille toute la journée à la libraire. Elle a du travaille en retard et je ne peux pas lui demandé donc de rester ici avec moi. Je soupire alors que j'enfile un pantalon et un tee-shirt. Le tout début de matinée à déjà été long, aux environs de cinq heures du matin quand je me suis levé pour faire un jogging. Le temps était déjà affreux et courir sous la pluie n'a eût rien d'amusant ou de distrayant. Je me suis retrouvé trempé et je le fus encore plus sous la douche, ce n'est qu'une évidence. La pluie, je n'ai jamais été ça, j'ai toujours préféré le Soleil et le beau temps quand, il fait chaud, voir même trop chaud et que l'on a soudainement envie qu'il pleut ou qu'il y ait au moins un vent frais pour nous rafraîchir un peu. Cette journée risque d'être longue...

Du pain grillé tartiné de beurre, deux tartines ni plus ni moins, un café noir et le petit déjeuner est fait. Ensuite, j'irais promené un peu Barney pour lui dégourdir les jambes malgré la pluie et le mauvais temps, il suffira de se couvrir, manquerait plus que j'attrape un coup de froid pour clore cette magnifique journée. Je regarde une émission de téléachat tout en mangeant, il n'y a rien de plus distrayant, peut être les pokémons mais, ce n'est plus de mon âge depuis longtemps. Le petit déjeuner terminé, je m'empresse de le mettre dans le lave-vaisselle, j'enfile une veste et attrape la laisse de Barney. Il ne l'aime pas beaucoup et je pense qu'il ne s'y fera jamais, je le détacherais quand on aura fait un bout de chemin, pas avant. Il fait froid dehors et malgré ma veste bien chaude, je frissonne face au vent frais. La pluie ne tarde pas à me trempé tellement elle tombe et je suis déjà pressé de faire demi-tour. Barney aussi est mouillé mais, ça ne l'empêche pas de s'amusé. Il ne cesse de s'agiter, de tourné en rond, de mordillé sa laisse et pris par la pitié et l'envie de le laissé de la liberté, je le détache. A peine l'ais-je fais qu'il disparaît déjà en courant comme un fou face au vent, ça semble l'amusé plus qu'autre chose. Je souris face à la scène et le rejoint en courant. Je le caresse et il remue la queue, totalement fou ce chien. Il tourne en rond et aboie, j'espère qu'il ne dérangera pas les gens du quartier. Il court dans le sens du vent et je le suis, ne comprenant pas vraiment ce qu'il fait et ce qui peu bien autant l'éclaté dans du vent. Il ne le voit pas, il le sent seulement.

La matinée passe plus vite que je ne le crois, ça fait déjà une heure que je traîne dehors, courant après mon chien et m'amusant comme un enfant avec lui. On approche du centre-ville et j'aperçois déjà le starbuck. J'avoue que tout ça m'a donné soif et je décide donc de m'y arrêté boire un verre. Le vent souffle encore plus fort qu'il y a une heure et la pluie a finalement cessée de tombée mais, elle menace de recommencé dans quelques minutes, ça ne m'étonnerait pas. Je rentrerais après cet arrêt et je sécherais Barney qui ne semble pas se préoccupé plus que ça du faite qu'il est trempé de la tête aux pieds, heureux du faite que je l'ai libéré de sa laisse. Je m'approche et me décide à attaché Barney dehors, pour ne pas qu'il s'enfuie, il ne semble pas satisfait d'être à nouveau enchaîné et encore moins gaie à l'idée d'être attaché face à l'entrée du starbuck. Je pousse la porte en jetant un dernier regard à mon chien et m'assoit à la première table vide que je trouve, je suis mouillé. Il était tant que je trouve un refuge où m'installer. Je commande un café noir, encore une fois et pendant que je patiente la porte s'ouvre à nouveau. Je reconnais cette chevelure blonde. « Hey. Comment tu vas ? » C'est Lily-Rose, la fille que j'ai dépanné une fois et avec qui je suis devenu ami depuis ce jour là même, si on s'est aussi embrassés cette soirée là, quelque peu éméché tous les deux. Ashton ne le sait toujours pas.